Centres d’intérêt : comment les mettre en valeur dans votre CV pour booster votre candidature
Analyse de mon CV16 min de lecture. Mis à jour le June 24, 2025
Dans un bon CV, chaque rubrique compte. Si certaines rubriques sont absolument incontournables, comme les rubriques « Expérience professionnelle » et « Formation », d’autres rubriques en revanche peuvent sembler facultatives, voire inutiles.
C’est le cas de la rubrique « Centres d’intérêt ». Cette rubrique est-elle vraiment nécessaire à votre CV ?
Oui, parce que vos centres d’intérêt sont un excellent moyen de mettre en valeur votre personnalité, vos savoir-être et vos qualités, qui sont aujourd’hui de plus en plus valorisés par les processus de recrutement, presque au même titre que l’expérience professionnelle.
Mais comment concevoir cette rubrique, où la placer dans votre CV et surtout, quelles sont les activités extra-professionnelles qui donneront une véritable valeur ajoutée à votre CV ?
Poursuivez votre lecture pour découvrir les réponses à ces questions, et identifier les centres d’intérêt qui peuvent faire briller votre candidature.
Qu’est-ce qu’un centre d’intérêt ?
Un centre d’intérêt est une activité, un loisir ou une passion auxquels vous consacrez régulièrement votre temps libre. Le terme « régulièrement » est important ici, car si vous ne pratiquez cette activité qu’une fois tous les trois mois, ou que vous ne la pratiquez plus, mieux vaut vous abstenir de la mentionner dans votre CV.
Ces activités, loisirs et passions peuvent appartenir à de très nombreux domaines : culturel, sportif, artistique, associatif, créatif…
Conseil : veillez à bien orthographier « centres d’intérêt » dans votre CV, car ce serait dommage de vous disqualifier à cause du titre d’une rubrique ! « Intérêt » ne prend pas de « s », car c’est votre intérêt à vous seul·e, singulier, qui peut se concentrer sur différents centres, au pluriel.
6 excellentes raisons d’ajouter une rubrique « Centres d’intérêt » à votre CV
Plusieurs arguments de poids jouent en faveur de la rubrique « Centres d’intérêt » dans votre CV. Pour mieux vous convaincre de son utilité, nous en avons recensé 6 :
1) Pour faire sortir votre CV du lot
N’est-ce pas votre objectif majeur ? Retenir l’attention de la personne en charge du recrutement ? Une rubrique « Centres d’intérêt » bien conçue peut mettre en valeur ce que vous avez d’unique, de spécial. Une pratique sportive assidue, une passion pour les mangas, ou la maîtrise du jeu de go peuvent sans conteste faire bonne impression ou tout au moins intriguer, et rendre votre CV plus mémorable.
2) Pour humaniser votre candidature
Les personnes en charge du recrutement vous le diraient, la plupart des CV se ressemblent. Et à la longue, ils en deviennent impersonnels et ennuyeux. La rubrique « Centres d’intérêt » permet justement d’éviter en écueil en donnant une personnalité à un profil professionnel. Cette petite touche qui humanise votre CV peut faire toute la différence entre la personne la plus qualifiée pour le poste et la personne la plus qualifiée pour le poste avec qui on a envie de travailler.
3) Pour fournir un sujet de conversation lors de l’entretien d’embauche
La sélection de votre CV n’est qu’une première étape du processus de recrutement. La seconde étape consiste à passer un entretien d’embauche. Or, la rubrique « Centres d’intérêt » est un excellent brise-glace pour la personne qui mène cet entretien, car cela lui permet d’ouvrir la discussion et d’échanger avec vous de façon naturelle et spontanée, voire d’établir une connexion plus personnelle.
4) Pour mettre en valeur vos soft skills
Comme vous le savez peut-être déjà, la tendance actuelle en matière de recrutement privilégie de plus en plus la recherche de savoir-être et de qualités, ces compétences comportementales transversales également appelées « soft skills ». Ces soft skills peuvent être difficiles à illustrer dans un CV, et la rubrique « Centres d’intérêt » représente une formidable opportunité de les mentionner.
5) Pour illustrer le fait que vous êtes une personne équilibrée
Consacrer du temps à ses passions, c’est non seulement savoir concilier sa vie professionnelle et sa vie personnelle, mais aussi savoir accorder de l’importance à son propre bien-être, prendre du temps pour soi et préserver de sa santé mentale. Bref, avoir des centres d’intérêt prouve que vous êtes une personne équilibrée et bien dans sa peau, ce qui compte énormément aux yeux d’un·e responsable des ressources humaines.
6) Pour étoffer un CV de débutant
Si vous êtes jeune diplômé·e ou en tout début de carrière, il se peut que votre rubrique « Expérience professionnelle » semble un peu maigre. Dans ce cas, une rubrique « Centres d’intérêt » qui met en avant les compétences que vous mobilisez dans vos activités extra-scolaires et extra-professionnelles peut être un excellent moyen de compenser cette lacune et de montrer votre valeur.
Comment identifier vos centres d’intérêt ?
Si la réponse à cette question vous semble évidente, cela signifie qu’une passion occupe une place si importante dans votre vie qu’elle fait partie intégrante de votre identité. Vous devez donc absolument la mentionner dans votre CV, quelle que soit cette activité : chanter dans une chorale semi-professionnelle chaque semaine, pratiquer le judo depuis l’enfance, ou être adepte de cosplay.
Si en revanche vous avez plus de mal à identifier vos centres d’intérêt, et que la seule réponse qui vous vienne est « voyage, lecture, cinéma », il va falloir creuser un peu. Voici quelques conseils pour vous aider à cerner vos centres d’intérêt :
1) Posez-vous la question, et posez-la à vos proches
Dans un premier temps, demandez-vous quelles activités vous occupent dans votre temps libre. Il est fort possible que des activités telles que « visionner des séries sur les plateformes de streaming » et « faire des barbecues entre amis » figurent en bonne place dans vos réponses, mais en cherchant un peu, vous allez certainement identifier des centres d’intérêt un peu plus pointus. Les podcasts de développement personnel. L’actualité internationale. Les cours de cuisine thaïe. La connaissance encyclopédique des groupes de hard rock des années 1970 à nos jours. Les magazines de vulgarisation scientifique. La customisation de vêtements. La culture goth. N’hésitez pas à creuser, et si vous ne voyez toujours pas…
…dans un deuxième temps, posez la question à vos proches. Car il arrive plus souvent qu’on ne le pense qu’on ne se connaisse pas si bien que cela. Vos parents, votre partenaire, vos amis, collègues et enfants en savent certainement beaucoup sur ce qui vous intéresse et vous passionne. Les réponses pourraient même vous surprendre. À titre d’exemple, l’une de mes amies enseignante a ainsi découvert que, selon ses enfants, elle avait des compétences hors-pair en rangement et en ménage, selon son compagnon, une véritable expertise sur les zombies et les vampires, selon ses amis, du génie pour le Scrabble et surtout, selon ses collègues et élèves, un authentique talent en matière de ludification, la conception de ressources pédagogiques inspirées de jeux. Ce sont ces deux derniers centres d’intérêt qu’elle a cités dans sa rubrique du même nom.
2) Faites la liste de tous vos centres d’intérêt
Après vous être posé la question à vous-même et après avoir interrogé vos proches, vous devriez avoir une liste d’une dizaine de centres d’intérêt, des plus conventionnels aux plus inattendus.
3) Faites preuve de précision
Évitez absolument les définitions trop floues ou passe-partout : cinéma, voyages, lecture. Cela ne donne aucune information pertinente sur vous. Essayez de contextualiser chaque centre d’intérêt de votre liste, en donnant des détails. Précisez, par exemple, le nombre d’années que vous avez consacrées à cette activité, comment vous la pratiquez (seul·e, entre amis, en club ou au sein d’une association) et les éventuels prix ou récompenses obtenus.
4) Sélectionnez les centres d’intérêt les plus pertinents par rapport à l’offre d’emploi
Dans l’absolu, chaque centre d’intérêt peut être pertinent, car il met en lumière des compétences transversales, potentiellement utiles dans le cadre d’une pratique professionnelle, mais concrètement, vous ne pouvez pas tous les citer dans votre CV.
Choisissez de mentionner les activités qui valorisent les compétences les plus recherchées par les entreprises : l’esprit d’équipe, le sens de l’adaptation, l’empathie, la curiosité, le leadership…
15 centres d’intérêt et leurs compétences associées
Afin de vous aider à présenter vos centres d’intérêt, nous en avons recensé 15, et les avons associés aux compétences techniques et comportementales qu’ils vous font mettre en œuvre afin que vous puissiez évaluer leur pertinence par rapport à l’emploi que vous visez. Bien sûr, cette liste n’est pas exhaustive, mais ces 15 centres d’intérêt peuvent assurément booster votre CV.
1. Activités sportives : ne mentionnez que les sports que vous pratiquez assidûment au moment où vous envoyez votre candidature, et depuis au moins un an.
Tous les sports mobilisent des compétences transversales, telles que la résilience et l’endurance, mais certains sports requièrent des aptitudes spécifiques. Par exemple, les sports collectifs exigent bien entendu un fort esprit d’équipe et de collaboration, ainsi que des capacités en gestion des conflits, tandis que le ping-pong exige une grande concentration et une extrême réactivité.
Conseil : Réfléchissez à ce que vous apporte le sport que vous pratiquez, et en quoi cela peut correspondre aux compétences et aux valeurs de l’entreprise qui recrute.
2. Sports cérébraux : la maîtrise des échecs, du bridge ou du jeu de go suppose de grandes capacités de concentration, d’analyse, de réflexion stratégique et de résolution de problèmes, entre autres.
Conseil : Précisez dans quel cadre vous vous adonnez à ce sport cérébral (club, maison de quartier ou autre) et votre classement régional ou national, le cas échéant.
3. Bénévolat : toute activité bénévole doit impérativement être citée dans votre CV, car cela donne une image positive de vous, tout en illustrant les valeurs qui vous tiennent à cœur et votre engagement en faveur de projets caritatifs ou communautaires.
Les compétences que le bénévolat peut mobiliser sont très nombreuses : empathie, écoute active, qualités relationnelles, mais aussi leadership, si vous occupez une fonction de direction ou de membre actif.
Conseil : si cette expérience bénévole occupe une grande partie de votre temps libre et que vous exercez des responsabilités dans ce cadre, comme la trésorerie ou l’organisation d’événements, vous pouvez l’intégrer à votre rubrique « Expérience professionnelle ». En effet, une expérience professionnelle n’est pas nécessairement une expérience rémunérée.
4. Loisirs créatifs : upcycling, rénovation de meubles, tricot, scrapbooking… toutes ces activités sont intéressantes à citer dans un CV, car elles mettent en valeur votre créativité, votre habileté et votre sens du design.
Conseil : là encore, précisez dans quel contexte vous vous adonnez à ce type de loisirs, depuis combien de temps, etc.
5. Musique : toute pratique d’un instrument de musique met en valeur votre rigueur, votre dextérité, votre capacité de concentration, votre persévérance et une excellente coordination œil-main. À vous de voir si ces compétences peuvent être en lien avec celles qu’exige le poste que vous convoitez.
Si votre passion pour la musique ne passe pas par la pratique d’un instrument, mais par une connaissance approfondie d’un genre musical, vous pouvez aussi le mentionner.
Conseil : veillez à ne pas mentir ou exagérer, car si vous prétendez être fan de jazz et que la personne qui vous fait passer l’entretien d’embauche l’est aussi, vous risquez de vivre un grand moment de gêne et de solitude si elle vous pose des questions trop précises.
6. Arts (peinture, sculpture, dessin, céramique, photographie, cuisine…) : ces loisirs illustrent votre créativité, votre sens de l’esthétique, votre méticulosité et attention aux détails.
Conseil : encore une fois, précisez dans quel contexte vous exercez votre art, si vous prenez des cours, exposez ou vendez vos œuvres, etc.
7. Développement personnel : yoga, méditation en pleine conscience, tai-chi… toutes les pratiques visant à améliorer votre bien-être physique et mental méritent d’être mentionnées, car elles donnent de vous l’image d’une personne équilibrée et saine.
Ces pratiques requièrent entre autres de la concentration, du calme, de la maîtrise de soi et de ses émotions.
8. Théâtre et danse : les centres d’intérêt qui vous permettent de vous exprimer sur une scène, verbalement ou corporellement, sont très prisés par les responsables du recrutement, car ils mettent en avant votre confiance en vous et votre capacité à vous exprimer en public.
Conseil : dites si vous faites partie d’une troupe ou d’un club, quel type de danse ou de théâtre vous pratiquez (moderne, ballet, improvisation).
9. Blogging ou création de contenu sur les réseaux sociaux : ce type d’activité illustre votre créativité, ainsi que vos compétences en communication et en marketing.
Conseil : si les thématiques que vous abordez dans vos contenus n’ont vraiment aucun lien avec votre profession, peut-être est-il plus sage de ne pas en parler.
10. Voyages : ce centre d’intérêt n’en est pas vraiment un, car tout le monde ou presque aime les voyages. Si vous le mentionnez dans votre rubrique « Centres d’intérêt », précisez comment vous voyagez et pourquoi. Passer deux semaines par an dans un hôtel de luxe en pension complète aux Maldives ne fait pas de vous un·e voyageur/voyageuse.
Conseil : pour que ce centre d’intérêt ait du sens dans votre CV, demandez-vous ce que vous attendez de vos voyages, ce que vous visitez, ce que vous apprenez, qui vous rencontrez. Dans l’idéal, le goût des voyages doit mobiliser votre curiosité, votre esprit d’aventure, votre sens de l’adaptation et vos qualités relationnelles.
11. Nature et environnement : naturaliste en herbe, membre d’une association de protection de l’environnement ou expert·e en permaculture, ces activités ont toute leur place dans votre CV. À l’heure où la plupart des entreprises ont entamé leur transition écologique, votre engagement en faveur de la nature est un énorme plus dans votre CV.
12. Lecture et/ou écriture : que vous soyez poète à vos heures perdues ou incollable sur la littérature japonaise, si votre passion littéraire est suffisamment définie, n’hésitez pas à la mentionner dans votre CV. En effet, ce centre d’intérêt met en valeur la richesse de votre vocabulaire, votre sensibilité, votre culture et votre raffinement.
Conseil : ne vous contentez pas d’écrire « Lecture » dans votre rubrique « Centres d’intérêt », car cela ne donne aucune information concrète sur vous. Précisez a minima votre genre littéraire de prédilection, voire votre auteur·trice préféré·e.
13. Nouvelles technologies : jeux vidéo, e-sport, codage, robotique, I.A., toute activité en lien avec les technologies numériques est un atout précieux à l’heure actuelle.
Conseil : si vous êtes un·e gamer, inutile de vous en cacher, mais précisez le type de jeux qui vous passionne, et éventuellement les compétences qu’il nécessite. Par exemple, les jeux de rôle requièrent des compétences en communication et en collaboration, tandis que les jeux de stratégie développent la capacité à résoudre les problèmes et à prendre des décisions.
14. Animaux : adepte du canicross et de l’agility, inconditionnel·le des reptiles ou des chevaux, le fait de s’intéresser aux animaux et à leur bien-être est une information intéressante aux yeux des responsables des ressources humaines, car cela humanise votre profil tout en illustrant votre sensibilité, votre empathie, votre sens des responsabilités et vos qualités relationnelles.
15. Inclassables : si vous pratiquez une activité atypique ou si vous vous passionnez pour un domaine très, très pointu, n’hésitez surtout pas à le mentionner dans votre CV, car cela peut vraiment piquer la curiosité de la personne qui l’aura entre les mains… et lui donner envie de vous rencontrer.
Pros du GeoGuessr ou fans de catch de dessinateurs à moustache, experts en zythologie, œnologie ou mixologie, amateurs de jeux de rôle grandeur nature (GN), d’Urbex ou de Discofoot, ne vous cachez plus ! Aujourd’hui, le monde du recrutement a découvert l’immense potentiel des mad skills, ces compétences atypiques qui mettent en valeur des personnalités vraiment uniques.
Conseil : ces centres d’intérêt inclassables représentent une certaine prise de risque. Si votre secteur d’activité est plutôt académique ou conventionnel, à vous de voir si vous souhaitez prendre ce risque ou non.
Bien présenter la rubrique « Centres d’intérêt » dans un CV
1) Où situer la rubrique « Centres d’intérêt » dans un CV ?
La rubrique « Centres d’intérêt » est généralement située en bas du CV, et c’est d’ailleurs souvent la dernière rubrique. Cependant, si vous n’avez pas encore d’expérience professionnelle, rien ne vous interdit de la placer plus haut, juste au-dessous de votre rubrique « Formation » par exemple, pour mettre en valeur vos compétences transversales.
Dans un CV à colonnes, elle peut aussi figurer au-dessous de la photo et des informations de contact, dans la mesure où il s’agit d’informations plus personnelles que professionnelles.
2) Quel titre donner à la rubrique « Centres d’intérêt » ?
Dans un CV, la rubrique « Centres d’intérêt » peut aussi s’intituler « Activités extra-professionnelles », « Loisirs », voire « Passions ».
En revanche, évitez les termes « Hobbies » (pourquoi employer un terme anglais ?) ou « Passe-temps », trop désinvolte.
3) Combien de centres d’intérêt un CV doit-il présenter ?
Il n’y a pas de règle absolue, mais cette rubrique, bien qu’importante, ne doit pas être plus longue que les rubriques plus essentielles, « Expérience professionnelle » et « Formation ». Généralement, les CV comptent entre 3 et 5 centres d’intérêt.
4) La rubrique « Centres d’intérêt » est-elle obligatoire dans un CV ?
Non, cette rubrique reste facultative : si vous n’avez pas trouvé dans la liste d’exemples ci-dessus au moins deux ou trois centres d’intérêt qui vous correspondent en lien avec le poste à pourvoir, mieux vaut vous en passer, car elle n’apporterait aucune plus-value à votre CV.
Si toutefois vous avez identifié plusieurs activités susceptibles de retenir l’attention de la personne en charge du recrutement, voici à quoi votre rubrique « Centres d’intérêt » pourrait ressembler :
5) Exemples de rubriques « Centres d’intérêt » :
(CV de graphiste) Centres d’intérêt : Photographie de rue (plusieurs expositions, dont « Expo2rue », Lyon, 2025, et « Street Cred », Bâle, 2024, portfolio : www.wunderfoto.com Bénévolat depuis 2018 auprès de l’association Téma (initiation au blogging/vlogging auprès d’enfants hospitalisés) Jeux vidéo (jeux de stratégie) |
Quels sont les centres d’intérêt à proscrire dans un CV ?
Évitez de mentionner les centres d’intérêt potentiellement clivants ou préjudiciables.
En voici quelques exemples :
Toute activité agressive / sanglante : chasse, corrida, jeux vidéo guerriers de type Call of Duty
Les jeux d’argent : poker, courses hippiques
Toute activité en lien avec la politique ou la religion (si vous êtes bénévole au sein d’une association caritative religieuse, ne mentionnez que les actions mises en œuvre sans évoquer de motivation religieuse)
Les sports trop extrêmes ou dangereux, comme le MMA ou le highline
Les activités passives : regarder la télévision
« Centres d’intérêt : comment les mettre en valeur dans votre CV pour booster votre candidature » : conclusion et points essentiels à retenir
Vous disposez à présent des meilleurs conseils et exemples pour présenter vos centres d’intérêt de façon optimale dans votre CV.
Vous savez maintenant comment identifier vos propres centres d’intérêt, et disposez d’une liste d’exemples pour vous inspirer.
Vous savez également quels centres d’intérêt ne pas mentionner dans votre CV.
Mais il vous reste encore plusieurs rubriques à concevoir, et peut-être aussi une lettre de motivation à écrire. Si vous avez besoin d’aide ou de conseils pour réaliser votre CV, ou si vous voulez l’avis d’un expert sur la présentation de vos centres d’intérêt, n’hésitez pas à nous soumettre votre CV pour une évaluation gratuite.
Solène est une linguiste passionnée et une voyageuse infatigable qui se promène depuisplus de 20 ans dans les Balkans. Elle vit actuellement à Cluj-Napoca, en plein cœur de la Transylvanie, et file toujours le parfait amour avec la langue française, qu’elle enseigne, traduit et écrit pour de nombreuses institutions et marques de prestige. Solène a aussi unefille, un chat, un mari et les cheveux bleus.

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